Selon une loi non écrite et dont nul ne peut préciser l’origine, les mauvaises nouvelles feraient vendre. Ainsi prétend-on expliquer le fait que celles-ci font souvent la une des médias (affirmation qui demanderait d’ailleurs à être vérifiée).
L’explication vaut peut-être pour certains médias. Mais ce n’est pas le cas pour tous. Sur les réseaux sociaux, ce sont au contraire les bonnes nouvelles qui circulent à la vitesse de l’éclair.
Cette troublant affirmation émane d’un psychologue américain, Jonah Burger, qui avec son équipe a étudié pendant six mois comment les internautes partageaient les articles du site du New York Times. Résultat de l’étude : plus l’article est positif, plus il est partagé.
Une autre étude, menée cette fois par des neuroscientifiques du Michigan et de Californie, essaie de comprendre quel type d’information fait le buzz. Il en ressort que les informations partagées sont plus souvent celle qui ont « activé » des zones du cerveau impliquées dans les interactions sociales.
Il ne vous reste plus qu’à confirmer que tout cela est vrai en partageant largement notre rubrique « Bonnes Nouvelles »...