Sœur Suzelle évoque ici un aspect particulier pour l’accomplissement de la volonté de Dieu : le rejet radical du péché. La théologienne explique que le péché est d’abord une opposition à la volonté de Dieu. Cette opposition donne une fausse image de Dieu. Il en vient à être considéré comme un ennemi et non plus comme un Père Miséricordieux.
Sœur Suzelle précise que la lutte contre le manque de vérité est au cœur de l’expérience spirituelle d’Anne-Marie Javouhey. « Aimons la Vérité, elle ne fait jamais de mal ! » rappelait souvent la fondatrice de la congrégation des Sœurs de Saint-Joseph de Cluny à ses consœurs.